Cursus :
Diplômé de l’Université Libre de Bruxelles en 2011
Diplômé en médecine générale en 2013
Diplômé du Collège International de Médecine Esthétique et de Longévité de Paris 2021
(Organisme reconnu par la Société Belge de Médecine Esthétique)
Ma philosophie de la médecine esthétique :
Médecin généraliste depuis dix ans, je vais me consacrer accessoirement à la médecine esthétique et offrir à mes patients un accès professionnel aux soins anti-âge et à la beauté naturelle.
Prendre soin de soi et de son bien-être est une démarche essentielle pour se maintenir en bonne santé. Je veux proposer à mes patients des soins esthétiques professionnels et de qualité.
L’approche esthétique de la médecine est une passion depuis le début de mon parcours professionnel.
Je m’inscris donc tout naturellement dans une démarche de formation continue en participant régulièrement à différents congrès et séminaires.
Cet apprentissage permet une amélioration constante des techniques de soin.
La première consultation s’ouvre sur un espace d’échange pour écouter vos préoccupations, vous rassurer et vous conseiller sur l’éventail de soins appropriés qui correspond le mieux à votre demande. Mon objectif doit rejoindre le vôtre en vous offrant un résultat naturel à la hauteur de vos attentes.
Prendre du temps pour soi, c’est rentrer dans une bulle de bien-être et prolonger l’espace des soins par une image de soi dynamisée.
Je vous accueille dans un cadre chaleureux pour des soins de médecine esthétique réalisés par un professionnel de la santé.
Mon approche de la médecine esthétique :
Vous sublimer sans vous transformer pour un résultat naturel.
Vos principales préoccupations esthétiques : atténuer les traits et les rides, donner de l’éclat au visage, gommer les légères imperfections liées à l’âge et surtout être détendu.
Notre préoccupation commune est de vous faire plaisir, d’être en accord avec vous-même et l’image que vous avez de vous en partageant un moment de détente et de bien-être.
Le bonheur n’est pas d’avoir tout ce qu’on désire mais d’aimer ce que l’on a